Le coffret des 2 tomes d’Aimé Fournier

Description

LES CARNETS D’AIMÉ FOURNIER L’APPEL DES MERS D’ISLANDE TOME 1

Présentation de l’ouvrage par Odile Fournier, fille de l’auteur :

On m’a dit un jour que sur cette terre chacun de nous doit accomplir une « mission d’âme ». Je crois que la mienne est celle d’être une messagère.  En effet, mon père Aimé Fournier (l’auteur) nous a transmis le manuscrit de récits qui enchantèrent son enfance et que lui racontait son propre père, excellent conteur. Mais, au-delà de l’imaginaire du monde enfantin, c’était l’histoire de la dure réalité de ces familles de valeureux marins qui partaient pêcher la morue, à la charnière des XIXème et XXème siècles, dans les mers tumultueuses et glaciales d’Islande. À l’instar de François Bûlot, un des principaux protagonistes de cet ouvrage, et comme tant d’autres, c’est à l’âge de dix ans que mon grand-père embarqua sur l’une de ces frêles mais fringantes goélettes. Bravant leurs angoisses et toutes sortes de périls, ils quittaient leur pays et leur famille pour de nombreux mois. Rentreraient-ils tous au port et en vie ? Ainsi, comme messagère, en publiant les écrits de mon père, j’ai souhaité rendre hommage à ma famille et à tous ces hommes de caractère qui représentent d’admirables exemples de courage et de vaillance.

LES CARNETS D’AIMÉ FOURNIER DE L’OMBRE À LA LIBERTÉ TOME 2

Présentation de l’ouvrage par Odile Fournier, fille de l’auteur :
Le premier tome des carnets d’Aimé Fournier « L’appel des mers d’Islande » nous a fait découvrir les aventures et la vie difficile de sa famille et des valeureux marins qui partaient pêcher la morue dans des conditions souvent périlleuses.

Dans ce second tome, il nous fait partager sa lutte incessante contre l’occupant durant la Seconde Guerre mondiale. Fervent patriote, il décrit sa vie de soldat jusqu’à la défaite de 1940. Dès la première heure, il adhéra alors à un réseau de Résistance à Dunkerque et dans sa région. La section du réseau de cheminots dont il faisait partie fut infiltrée en 1943. Recherché par la Gestapo, il parvint à s’enfuir à Paris d’où il continua la lutte en tant qu’agent de liaison puis dans d’autres opérations en divers lieux, jusqu’à la Libération. Malgré l’ambiance pesante de l’Occupation, il nous relate parfois de façon amusante ce que d’autres ont accompli pour nuire à l’ennemi. Tous à leur manière ont combattu pour que notre Patrie retrouve sa liberté. Que le courage dont tous ces hommes ont fait preuve puisse nous servir d’exemple dans une période où nous en manquons singulièrement.