LOUISE TOME 3 Les raisins de la sagesse

Description

Après nous avoir entraînés dans le tourbillon de sa vie dans « Les Rouges-Coteaux » (tome I) et « Les vendanges d’une vie » (tome II), Louise a maintenant l’âge de la maturité, celui où l’on se retourne sur ce que l’on a accompli et où l’on commence à faire le bilan. Mais c’est sans compter sur sa volonté de ne pas céder aux vicissitudes que lui impose son existence. Louise va nous emmener dans une quête des plus inattendues et nous conduire jusqu’au bout du monde. Son destin va croiser celui d’Alexandra David-Néel, cette personnalité hors du commun, dont la vie incroyable lui a servi de fil d’Ariane tout au long de son propre chemin. Ce troisième volet de la saga « Louise » va nous révéler une rencontre inoubliable entre les deux femmes, la maîtresse du domaine viticole « Le Château des Rouges-Coteaux » et l’exploratrice du monde oriental et tibétologue, toutes deux éprises de liberté.
Dans ce roman, l’auteur choisit de mêler des faits historiques et des personnages réels avec des scènes et des personnages nés de son imagination. Sans être une biographie d’Alexandra David-Néel, cet ouvrage lui permet d’exprimer son admiration pour cette femme exceptionnelle qui marqua le XXe siècle en transmettant aux sociétés occidentales les fondements du bouddhisme tibétain.
Les méandres de l’écriture sont à la fois passionnants et surprenants pour l’écrivain assoiffé de documentation, toujours dans la réflexion et sans cesse en quête d’imagination pour créer des personnages attachants qui séduiront ses lecteurs.

« Tel un peintre, René Koehl a le don rare de pouvoir dessiner ses scènes et de croquer ses personnages, la plume toujours trempée dans l’émotion, la tendresse, l’humour et une certaine philosophie. Tantôt pour évoquer un personnage, un sentiment, une ambiance ou un paysage, il saura utiliser des teintes à la transparence de l’aquarelle, tantôt il aura recours à des couleurs vives, voire criardes ! C’est en cela que réside l’habileté de René Koehl : savoir prendre ses lecteurs par les sentiments en laissant souvent couler sa propre sensibilité au bout de sa plume. »